Home Politique Fonds Forestier National: Le profil du DG Honoré Mulumba laisse ses détracteurs bouche bée

Fonds Forestier National: Le profil du DG Honoré Mulumba laisse ses détracteurs bouche bée

22 min read
0
0

Dans un article de presse tendancieux, un média en ligne s’en est récemment pris malencontreusement au Directeur Général du Fonds Forestier National(FFN), Honoré Mulumba Kalala. Sur base des accusations gratuites, l’auteur dudit article l’a notamment accusé de mauvaise gestion, trafic d’influence et clientélisme. Réponse du berger à la bergère, l’intéressé a sorti de l’artillerie lourde à travers un droit de réponse long comme un bras, qui prouve sans aucune contestation, que Honoré Mulumba est blanc comme la neige.

Nommé par Ordonnance présidentielle n°20/136 du 23 septembre 2020, il combat, comme jamais par le passé, les anti valeurs qui avaient élu domicile au FFN depuis des longues années. Sans doute, ceux qui se retrouvaient dans ces anti valeurs ont décidé de lui déclarer la guerre. C’est dans un contexte de ce dont on peut qualifier de combat entre le bien et le mal, entre les anti valeurs et les valeurs, que les détracteurs du nouveau DG n’ont trouvé mieux que de propager des fakenews contre sa personnalité, question de ternir son image.

Malheureusement pour eux, ils semblent ignorer le parcours de leur cible. Pour prouver leur ignorance et leur intention diabolique de porter atteinte à son honneur, le service de communication du Fonds Forestier National s’est fait le devoir de leur présenter le portrait de Mulumba Kalala.

Taillé sur mesure pour des grandes responsabilités

Le DG Honoré Mulumba est un membre de première heure de l’UDPS, parti qu’il a intégré en 1987 comme co fondateur de la cellule Cité verte, créée en présence de feu Maitre Mukendi, ancien Conseiller politique d’Étienne Tshisekedi et d’Olivier Kabangu, ancien Secrétaire Général Adjoint de l’UDPS. De 1987 à 1998, il a été président de l’UDPS à l’Académie des beaux arts en clandestinité et pendant que la dictature de Mobutu battait son plein. A la même période, Honoré Mulumba avait la lourde et périlleuse charge de déposer des lettres dans les ambassades en vue d’alerter la communauté internationale sur ce qui se passait au Zaïre.

Réputé discret, il était un des proches collaborateurs de feu Anaclet Mukanda, un des cofondateurs de l’UDPS et de feu Mukoka, un autre fondateur du parti historique de l’opposition congolaise. Désireux de poursuivre ses études, il séjournera en Afrique du Sud, au Brésil, au Canada et aux États-Unis d’Amérique où il fera des études de pharmacie et santé environnementale à l’Université d’Arizona et en médecine naturelle et alternative en Inde. Après avoir décroché un doctorat en médecine naturelle et alternative où il est certifié et accrédité officiellement aux États-Unis. Il se spécialise en cancérologie en Pensylvania, à l’institut pour la recherche de l’éducation contre le cancer et fini avec la mention Élite (97℅).
Mais, ce n’est pas tout car Honoré Mulumba a également obtenu un doctorant en Leadership pastoral à l’Université de Georgia et prépare, toujours à Atlanta à Georgie, un PHD en médecine naturelle et alternative avec pour sujet de recherche, « focus sur le changement climatique, la santé environnementale et le traitement du cancer ».
Au plan politique, il continuait de travailler pour le compte de l’UDPS dans ses représentations de Colorado, Washington DC, Michigan, Houston (Texas) et Atlanta.
Avec tous ces diplômes obtenus dans des universités mondialement connues, il pouvait rester travailler aux États-Unis où il pouvait bien gagner sa vie. Ça n’a pas été le cas. En bon patriote, Honoré Mulumba est rentré en RDC pour apporter son expérience dans son domaine de prédilection. Il a notamment été Conseiller en charge de l’environnement et assainissement au Cabinet du ministre de l’environnement, conservation de la Nature, Eaux et Forêts, Anselme Enerunga, aujourd’hui député national. C’est en cette qualité qu’il a représenté la RDC plusieurs fois à la Banque mondiale, à la Banque Africaine de Développement (BAD) et au Programme des Nations Unies pour l’Environnement. On l’a vu effectuer plusieurs voyages dans la casquette d’expert en questions environnementales au Rwanda, Corée du Sud comme représentant du ministre sectoriel ou encore au Congo Brazzaville lors des négociations sur le programme du bassin du Congo. D’ailleurs, il impliqué dans la réalisation de plusieurs programme sur l’environnement aux côtés de l’ancien Vice-président de la République en charge de la Reconstruction et développement, Abdoulaye Yerodia Ndambasi. On a vu Honoré Mulumba partager son expérience de spécialiste en environnement, assainissement et changement climatique dans plusieurs forums internationaux notamment en Afrique du Sud, au Rwanda, au Congo Brazzaville, en Inde, Canada et aux États-Unis.

L’homme qu’il fallait au FFN

Au regard de ce profil costaud, on peut donc affirmer que le Président Félix Tshisekedi ne s’est pas trompé en lui confiant la gestion du Fonds Forestier national. Chevronné en environnement, en santé environnementale, en Pharmacie, en Théologie, en Architecture intérieure et en médecine naturelle et alternative, Honoré Mulumba n’a pas trahi la confiance du Chef de l’État car, ses premiers pas ont mis d’accord cadres et agents de cet établissement public.

Par ailleurs, professeur honoraire à l’Académie des Beaux-Arts où il a enseigné pendant plus de quatre ans, il dirigé l’association des architectes intérieur du Congo de 1990 à 2000. En 1990, il a été membre de la Commission préparatoire de la Conférence Nationale Souveraine avec le feu Docteur NUMBI, Franck DIONGO et le feu Pierre LUMBI. Au plan personnel, il dirige un Cabinet de médecine alternative aux USA et au Canada. Actuellement, il est chercheur à la société américaine pour la prévention oncologique aux USA à Indianapolis sur le cancer et l’environnement.

Quid des accusations de mauvaise gestion?

Contrairement à ce qui est répandu par ses pourfendeurs, le Directeur Général du FFN n’est ni de lin ni de près impliqué dans une quelconque mauvaise gestion. « Le DG connait très bien les bonnes règles de la gestion publique pour avoir travaillé dans l’administration et les cabinets politiques avant son voyage pour raison d’études à l’étranger », rappelle le service de communication du Fonds Forestier national.

Au sujet de l’allégation de l’effectif pléthorique dans son cabinet et une garde personnelle de 10 policiers qui créerait la terreur vue leur nombre exagéré, ceux qui y croient sont tout simplement invités à se rendre au siège du FFN pour vérifier eux-mêmes l’effectif de son cabinet. «Concernant la garde policière, le DG n’a que deux policiers mis à sa disposition par l’unité de protection des hautes autorités. Comment dix (10) policiers de garde peuvent-ils entrer dans le seul véhicule mis à la disposition de Monsieur le DG pour assurer sa sécurité ? », s’interroge son service de communication.

Concernant le trafic d’influence, on tient à préciser que l’assistante principale du DG s’appelle Mujinga Kapinga Patricia et non Patricia Tshisekedi comme insinué dans.
« A notre connaissance, le DG n’a jamais dit à qui que ce soit qu’il était l’ami personnel du Chef de l’Etat avec qui il partagerait un repas chaque soir. Sachez que le DG n’est pas si immature au point de raconter à qui que ce soit sa vie privée », martèle-t-on.
S’agissant des avantages monstrueux, il faut dire que le DG du FFN a décidé de s’entourer des personnes sages et expérimentées qui méritent bien plus que le salaire que l’on leur paye.

En ce qui concerne le Directeur de Cabinet et son adjoint, il a recouru à un ancien Secrétaire Général du Ministère de l’Environnement et un ancien Directeur qui a dirigé plusieurs directions au sein du même ministère dont le Fonds de Reconstitution du Capital Forestier duquel découle le Fonds Forestier National aujourd’hui. Quant à la secrétaire particulière, elle traine une expérience professionnelle avérée derrière elle dans les institutions officielles et les partis politiques. « Il l’a fait essentiellement dans le but de réussir son mandat au sein du Fonds par le seul souci qui l’anime de redorer l’image de marque de cet établissement public dont la gestion a été manifestement catastrophique jusqu’à son avènement », explique le service de communication du Fonds Forestier National.

Rien de méchant à lui reprocher

Pour les directeurs en fonctions au FFN, on signale que leur salaire qui se chiffrait à l’équivalent en Francs congolais de 2.300$ par mois s’est dégradé bien avant l’arrivée de l’actuel DG qui, annonce-t-on, s’est engagé à l’améliorer progressivement au regard de l’évolution des recettes attendues.
« Le DG a déjà tenu trois réunions du Comité de gestion, la pandémie à COVID-19 oblige. Par ailleurs, en vue de bien préparer le deuxième Conseil d’administration qui a eu lieu du vendredi 29 au samedi 30 janvier 2021 au siège de la Direction Générale, il s’est tenu au préalable une réunion de Direction le mercredi 13 janvier 2021. Et dans le même sens, d’autres réunions sectorielles ont été également tenues par le Directeur Général avec les différents Directeurs pour un état des lieux du Fonds », ajoute le service de communication du Fonds Forestier national.

Et de poursuivre qu’en ce qui concerne la révisitation des textes organiques du FFN, le DG a simplement répondu à une demande du Conseil d’Administration du 12 octobre 2020 en mettant en place une commission éclatée en trois sous commissions, qui a produit les documents qui selon nous devraient être approuvés par le Conseil d’Administration.

Concernant sa gestion prétendue opaque et calamiteuse qui priverait les provinces de frais de fonctionnement, il s’agit une fois de plus ici d’une affirmation gratuite car les salaires et les frais de fonctionnement sont envoyés régulièrement à chaque antenne provinciale. « S’agissant de la confusion entre l’église du DG et le FFN, nous disons que l’allégation est mensongère et non fondée car il n’y a aucun élément pour le prouver », insiste le service de communication du FFN.

Pour ce qui est du projet «jardins scolaires pour un milliard d’arbres à planter à l’horizon 2023 », il faut dire que le DG du Fonds Forestier national a mis toutes les batteries en marche pour sa réalisation. Et à ce jour, la réalité sur terrain montre que ce projet lancé par le Chef de l’État le 05 décembre 2020, à l’occasion de la journée nationale de l’arbre, est en train de se concrétiser à Kinshasa et à l’intérieur du pays. C’est pour ça que le DG a assisté, à Lubumbashi, au lancement de la pépinière provinciale par le Gouverneur, un projet financé par le FFN.

Le service de communication invite tous ceux qui parlent de de la disparition de 110.000 dollars américains destinés au reboisement de recourir à un bureau d’audit national ou international pour constater qu’il n’y a jamais eu détournement d’un tel montant au sein du FFN pendant les trois mois de la gestion de l’actuel FG, en tenant compte des dispositions prises par le Cabinet du Chef de l’Etat le 30 janvier 2021.
En un mot comme en mille mots, il apparaît clairement que les fausses allégations propagées contre le DG Honoré Mulumba sont les oeuvres d’un groupe de personnes mal intentionnées, qui cherchent tout simplement à saper sa réputation.

ALT/ Le Journal

Load More Related Articles
Load More By Admin
Load More In Politique

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Check Also

Forages de la discorde: ouverture d’une instruction par le PG près la Cour de cassation

C’est un nouvel épisode, sans doute l’un des plus décisifs, dans l’affai…