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RDC: Deal ou prostitution 2.0, personne n’y échappe

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Par Dandjes Wise

Ce matin j’ai lu un thread sur le « deal », je me suis retrouvé à pleurer, tellement les dépravations des mœurs avaient atteint leur point de non-retour. Je me suis alors souvenu de mes recherches dans ce secteur. J’ai promis d’en parler plusieurs fois mais la flemme m’avait toujours vaincu jusqu’à maintenant.

Tout a commencé fin 2020 quand j’ai eu écho des réseaux de prostitution 2.0 à Kinshasa, «le deal» (ça sonne plus tendance hein?). J’avais alors décidé d’en savoir plus. Démarchage à gauche et à droite, j’apprends le mode de fonctionnement de ces chaînes obscures qui s’articulent essentiellement sur 4 axes : casinos, groupes WhatsApp, commissionnaires et surtout réseaux sociaux spécialisés (j’en parle plus bas).

Mes premiers contacts

Janvier 2021, je décide de comprendre le vrai fonctionnement du monde des deals. Dans mon quartier, le deal se porte bien. A Bandal puisque c’est de là qu’il s’agit, les filles sont réputées classes. Derrière l’apparence luxurieuse se dissimule des choses peu recommandables. Sur Kimbondo, non loin de maman colonel, quelques dealeuses louent une parcelle. Leur commissionnaire homme y tient même une gargote plutôt saine (surnommé à Bandal, Malewa de luxe).

Semaine après semaine, je me familiarise avec les lieux. Quelques bières et quelques plats, les dealeuses s’attachent et espèrent même m’offrir leurs services (je ne me justifierai pas, lol).

Avec Martiny, on a sympathisé. Le jeune fille de 23 ans le racontait tout et ignorait tout de moi, même mon nom. Elle m’appelait «Wise» ou «Jason» et croyait que je m’appelais ainsi. Les glaces brisées, elle m’a parlé du jeu. Martiny gagnait jusqu’à 500$ par semaine.
Le commissionnaire avait droit à 20% des revenus de chaque fille et c’est lui qui tenait la maison (ration alimentaire, factures…)

Au beau milieu de l’histoire, je sens une fille déprimée et pleine de blessures intérieures. Martiny est fille d’un ancien dignitaire Mobutu. Elle a grandi dans l’opulence et n’a pu supporter la chute après le décès de son père et le rejet des enfants du premier lit. Ses clients, Martiny les «choppe» (selon ses mots) dans leur «Malewa de luxe», au Quartier (bar très fréquenté à Bandal) mais aussi et surtout sur les réseaux sociaux. « De temps en temps, je vais au Casino x ( elle cite un Casino de Gombe vers une ambassade Africaine). Mais là c’est top level et j’ai peut des politiciens. Ils sont mystiques et ont des envies anormales», ajoute-t-elle en souriant.

Les réseaux sociaux, cet autre monde

«Nous sommes sur Instagram mais surtout sur Tinder et Badoo», m’a dit Martiny. Parlant d’Instagram, j’ai d’ailleurs reçu moi-même plusieurs messages louches dont celui d’une certaine « Emy sweetheat » avec comme contenu: «Chou, ça te dirait un deal avec moi?». Je vous jure, à l’époque (ça date de plus de 5 ans), je ne savais rien des deals et d’ailleurs je n’y ai jamais répondu. Revenons à Martiny, ma dealeuse d’ami. « Tinder, Badoo?», lui ai-je demandé. «Oui, attends je te montre», répond-elle prenant son iPhone Xr.

Avril 2021, vive le confinement. 𝐋𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐮𝐫𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐚𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞́𝐞𝐬, 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐦𝐨𝐲𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞𝐫 à 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐌𝐚𝐫𝐭𝐢𝐧𝐲. 𝐍’𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝é 𝐬𝐨𝐧 numéro 𝐚 été 𝐥’𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫 𝐟𝐚𝐭𝐚𝐥𝐞 𝐨𝐮 plutôt 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐮𝐝𝐞𝐧𝐜𝐞 extrême. 𝐀 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐝𝐢𝐫𝐞, 𝐣𝐞 𝐧𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐥𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐬 𝐝’𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭 𝐭𝐫𝐞̀𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐞𝐥𝐥𝐞. C’est alors que je décide d’explorer les deux autres pistes pour poursuivre mes recherches. En un temps deux mouvements, j’avais pris mes inscriptions sur Tinder et Badoo, les deux réseaux sociaux des dealers.

Ici, contrairement à Facebook et Instagram, les dealers ne se cachent pas. Dès mon entrée, les cœurs pleuvent. Elles sont nombreuses à m’envoyer des «matches» (c’est le terme approprié). Finalement, je décide de poursuivre la conversation avec 3. 𝐔𝐧𝐞 𝐡𝐚𝐛𝐢𝐭𝐞 𝐁𝐨𝐧 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡é, 𝐥’𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐋𝐢𝐦𝐞𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐚 dernière 𝐋𝐞𝐦𝐛𝐚. 𝐃𝐞𝐮𝐱 𝐨𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐥𝐚 dernière 𝐧’𝐚 𝐪𝐮𝐞 𝟏𝟗 𝐚𝐧𝐬, 𝐞𝐥𝐥𝐞 étudié à 𝐥’𝐈𝐒𝐏. 𝐋𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐮𝐱 premières 𝐡𝐚𝐛𝐢𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐦𝐢𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐨𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐦𝐩𝐭𝐮𝐞𝐮𝐱 𝐚𝐩𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐞𝐭 𝐦𝐞̀𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐛𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐢𝐞, 𝐩𝐡𝐨𝐭𝐨𝐬 publiées 𝐟𝐚𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐟𝐨𝐢.

𝐋𝐞 𝐝𝐞𝐚𝐥, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐞𝐭 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭

Celle de l’ISP se prénomme 𝐄𝐬𝐭𝐡𝐞𝐫. Etudiant en en 1ère année d’Hôtellerie, elle draine une expérience de plus de 5 ans dans le deal.

𝑃𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑡𝑢 𝑑𝑒𝑎𝑙𝑒𝑠 ?
𝑃𝑎𝑟𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑗’𝑎𝑖𝑚𝑒 ça, 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑐𝑟𝑒𝑡 𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡.
𝐴ℎ 𝑏𝑜𝑛 ? 𝐸𝑡 𝑡𝑎 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 ? 𝑆𝑜𝑛𝑡-𝑖𝑙𝑠 𝑎𝑢 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑓𝑎𝑖𝑠 ?
𝑀𝑜𝑛 𝑝𝑎𝑝𝑎 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 𝐷𝐺 𝑑𝑒 … (𝑢𝑛𝑒 société 𝑑𝑒 𝑙’𝐸𝑡𝑎𝑡) 𝑒𝑡 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 très 𝑟𝑖𝑔𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥.
𝐶𝑒 𝑛’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙’𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑜𝑛𝑐 ?
𝐿’𝑎𝑟𝑔𝑒𝑛𝑡 𝑛’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑢𝑛 problème. 𝐸𝑛 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒, 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 gâtée 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑗𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑒 𝑡𝑎𝑝𝑒𝑟 100 𝑜𝑢 200$ 𝑑𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑢 𝑝𝑙𝑎𝑖𝑠𝑖𝑟 𝑒𝑛 𝑏𝑜𝑛𝑢𝑠, où 𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑒 problème?
𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑡𝑢 𝑠𝑎𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 péché ?
𝑂𝑢𝑖, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑖𝑙 𝑦 𝑎𝑢𝑟𝑎 𝑢𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 où 𝑗𝑒 𝑣𝑎𝑖𝑠 arrêter 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑝𝑎𝑟𝑑𝑜𝑛 à 𝐷𝑖𝑒𝑢…
𝑇𝑢 𝑝𝑒𝑢𝑥 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑖𝑟 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛, Jésus 𝑡’𝑎𝑖𝑚𝑒, 𝑖𝑙 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑒𝑛𝑡𝑖𝑟…
𝑇𝑢 𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑎𝑙𝑒𝑟 𝑜𝑢 𝑚𝑒 prêcher ? 𝑀𝑜𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑒𝑠𝑡 précieux.
(𝐽𝑒 𝑓𝑒𝑖𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙 𝑒𝑡 𝑗𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑟) 𝐿𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑜𝑡 𝑚’𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒, 𝑗𝑒 𝑡𝑒 𝑟𝑒𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒. 𝑃𝑟𝑒𝑛𝑑𝑠 ça 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑡𝑜𝑛 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑜𝑟𝑡
Comme avec Esther, ma rencontre avec les deux autres dealeuses a également tourné au vinaigre puisque j’ai posé trop de questions. Il fallait quand même rembourser les transports. 𝐀𝐮𝐬𝐬𝐢, 𝐥𝐞𝐬 𝟑 𝐝𝐞𝐚𝐥𝐞𝐮𝐬𝐞𝐬 étaient chrétiennes. 𝐔𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐚𝐢𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧𝐞 très 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 église 𝐢𝐧𝐬𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐧𝐜𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 où 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 même ouvrière.

𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣’𝐚𝐢 𝐫𝐞𝐭𝐞𝐧𝐮

Après ces 3 rencontres et les harcèlements subis sur Badoo et Tinder où les avances des femmes sont la règle, j’ai décidé de fermer mes comptes avec bien sûr des leçons apprises.

𝐿𝑎 𝑣𝑒𝑛𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 réseaux 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑢𝑥 𝑎 facilité 𝑏𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑠𝑒𝑠, 𝑦 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑟𝑖𝑠 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑡𝑖𝑡𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛
𝐿𝑎 télévision, 𝑙𝑎 𝑚𝑜𝑑𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 apparentes 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑢𝑖𝑠𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 à 𝑙’𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑢 𝑔𝑎𝑖𝑛 𝑓𝑎𝑐𝑖𝑙𝑒
𝑃𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑛’𝑒𝑠𝑡 épargné 𝑝𝑎𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑎𝑙 : 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒, ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒, 𝑓𝑎𝑚𝑖𝑙𝑙𝑒 aisée 𝑜𝑢 nécessiteux.
𝐿𝑒𝑠 𝑑𝑒𝑎𝑙𝑠 𝑝𝑎𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑒 conséquences 𝑞𝑢’𝑜𝑛 𝑙𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑠𝑒 (𝑢𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑒𝑠 𝑟𝑒𝑛𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑚’𝑎 𝑑𝑖𝑡 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 couché 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒 𝑠𝑜𝑛 𝑐𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡. 𝐷𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒 𝑐𝑜𝑢𝑝𝑙𝑒, 𝑙’ℎ𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒 étaient 𝐻.𝑆 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑓𝑎𝑛𝑡𝑎𝑠𝑚𝑒𝑠 à e𝑢𝑥 𝑑𝑒𝑢𝑥 s’étaient 𝑠𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑝𝑙𝑒𝑖𝑛𝑠 ébats 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒).
𝐿𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑜𝑖𝑣𝑒𝑛𝑡 être 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑚𝑖𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑓𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑟𝑡𝑜𝑢𝑡. (𝐿𝑒 𝑝𝑎𝑝𝑎 𝑑’𝐸𝑠𝑡ℎ𝑒𝑟 était 𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑟𝑒 à 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑎 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒 était 𝑢𝑛 modèle 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒. « 𝐽𝑒 𝑚𝑒 𝑚𝑜𝑞𝑢𝑒 𝑑’𝑒𝑙𝑙𝑒 intérieurement », 𝑚’𝑎 𝑑’𝑎𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑠 avoué 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑙𝑙𝑒).
𝐴𝑡𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑢𝑥 réseaux 𝑠𝑜𝑐𝑖𝑎𝑢𝑥. 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 peut-être 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖 𝑖𝑛𝑑𝑒𝑚𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒𝑠 réseaux sociaux 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑟𝑎𝑖 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝐵𝑎𝑑𝑜𝑜 𝑒𝑡 𝑇𝑖𝑛𝑑𝑒𝑟, 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑜𝑝 𝑔𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒. 𝑃𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑙𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑗’𝑎𝑖 dû 𝑝𝑎𝑦𝑒𝑟 20€ 𝑑’𝑎𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 accès à t𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 fonctionnalités (𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑢𝑠𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛 sûr, 𝑙𝑜𝑙).
Le reste, j’en parlerai dans un billet ou peut-être même un livre (j’ai plusieurs en chantier dans mon bookshop).

𝗗𝗮𝗻𝗱𝗷𝗲𝘀 𝗪.

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