Ce vendredi 30 septembre 2022, des étudiants finalistes de l’Institut Supérieur de Développement Rural des Grands-Lacs (ISDR-GL) de Goma ont commencé à exposer publiquement sur leurs travaux scientifiques de fin de cycle.
Ces apprenants notamment de la troisième année de graduat (G3) et de la deuxième année de licence (L2) se sont le plus intéressés aux problèmes de base auxquels fait face la communauté congolaise, conformément à la thématique principale de leur institution, « le développement en milieu rural ».
C’est une occasion pour, non seulement les récipiendaires, mais aussi les jeunes étudiants de classes inférieures, de prendre part à un échange scientifique, qui donnent aux participants et assistants l’occasion de s’enrichie mutuellement, selon le professeur Joseph Kitaganya, Directeur Général de l’institution.
« On peut se partager quelque chose à grignoter, par exemple. Mais pourquoi ne pas aussi se partager de la science. Celui qui, par exemple, s’intéresse à l’agriculture, à l’environnement, en participant à des soutenances à l’ISDR-GL, peut bénéficier quelque chose », a-t-il expliqué.
Une déclaration qui s’illustre avec les différents exposés des chercheurs qui ont été rn l’honneur ce jour. Le cas de madame Mwangaza, étudiante en L2, en développement rural, option, gestion des entreprises dedéveloppement.Celle-ci, par un brillant exposé, a touché à une question cruciale, concernant la vie entrepreneuriale en ville de Goma, les défis, difficultés et quelques pistes de solution. La lauréate a ébloui l’assistance. Ce, pas uniquement sur le plan formel, mais bien également sur le plan de la matière abordée.
Convient-il donc de passer ultérieurement à la bibliothèque de l’établissement pour pouvoir consulter ce document de recherche scientifique.
Les soutenances publiques constituent qu’une activité de routine chaque année à l’institut supérieur de développement rural des Grands-Lacs. Pour cette première session lancée pour l’année académique en cours, plus de 500 candidats aux cycles de graduat et de licence de 2022 vont pouvoir défendre leurs travaux de recherche sur le terrain.
Alain Shamamba Tequiero
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