La patrouille financière menée par l’Inspection générale des finances (IGF) sous l’impulsion du chef de l’État Félix Tshisekedi Tshilombo se poursuit et continue à porter des fruits. Au lendemain de l’annonce en conseil des ministres par le président de la République, de la révisitation dans les prochains jours du contrat chinois, l’inspecteur général des finances-chef de service, Jules Alingete, auteur du rapport qui a abouti à cette décision, a réaffirmé l’engagement de son institution à traquer les délinquants financiers.
Enclenchée par le chef de l’Etat, la lutte contre la prédation financière continue à engranger des succès.
Grâce à cette lutte, des mesures efficaces ont été prises contre les exonérations illégales, la compensation et d’autres pratiques économiques et financières illégales.
A la suite de ces mesures, on assiste à une rationalisation des exonérations, mais ce n’est pas tout.
Dans les entreprises publiques, les missions de contrôle de l’IGF ont permis de réduire sensiblement la délinquance financière.
Mais les prédateurs financiers ne s’avouent pas vaincus. Face à leurs tentatives de saper le travail de l’IGF, Jules Alingete reste serein et déterminé.
« En dépit des vents et marées , œuvres des enfants perdus de la République à la solde des antivaleurs et chantres des délinquants Financiers , la BONNE GOUVERNANCE va progressivement s’installer dans la gestion Publique », a-t-il écrit sur Twitter.
Junior Lomanga